« Créer de nouveaux modèles de jardineries urbaines. »

Pourquoi venez-vous au Salon ?

Je travaille depuis vingt-deux ans chez Truffaut et je n’ai raté aucune édition. Pour moi, le Salon du Végétal est un lieu où on maintient et où on tisse du lien humain. Je rencontre mes fournisseurs, je discute avec des fabricants de pots… Tout un écosystème est présent au même endroit, au même moment.

Qu’attendez-vous de cette édition 2019 ?

Je suis très curieux de découvrir la nouvelle organisation du salon avec le regroupement des producteurs, les halls plus spécifiques ainsi que le nouveau concours de merchandising. Ça me semble être une édition à ne pas rater. On observe depuis quelques années un relatif déclin des salons professionnels, dans tous les secteurs. Les modes de communication ont changé, il faut se renouveler.

Chez Truffaut, comment abordez-vous cette mutation ?

Notre volonté est de développer le e-commerce et créer de nouveaux modèles de jardineries urbaines. Nous devons nous concentrer également sur les centres urbains et répondre aux attentes des consommateurs citadins.